...Des pt'ites bébêtes qu'elle a dit Dana !...

J'ai donc mené ma petite enquête! J'ai observé, espionné, écouté ,fureté dans les bocages de ma petite campagne .
Et chez moi ,qu'ils soient petits, moyens, avec des ailes ou de toutes petites pattes ils ont tous un point commun à une certaine heure du jour et quand ils se croient seuls....
Mais chhhhuuut.......c'est un secret

J'ai toujours un peu mal au coeur de devoir jeter les fleurs d'un bouquet
dont la tête ne tient plus droite sur sa tige!

voici ma solution !

Une jolie coupe....



un peu d'eau fraîche...



Et voilà nos jolies têtes coupées prêtes pour 8 jours de plus !



 pour le plaisir des yeux.....



Je vous laisse en compagnie de Tchaikowski et sa 
 valse des fleurs !

Belle journée à vous tous et bisous fleuris

 Vous n'avez certes pas oublié

Youri, Lara , les champs de jonquilles,  la maison dans la neige,

les galops des chevaux ....

Le Docteur Jivago

reste dans toutes les mémoires !

Une belle histoire d'amour avec un grand A !

Rendez vous pour une prochaine séance "souvenir"

http://fr.wikipedia.org/wiki/Marronnage

Les esclaves marrons

Le mot MARRON vient de l'espagnol cimarrón et signifie «s’échapper, fuir»; il désignait d’abord les animaux domestiques qui devenaient sauvages. En français, le mot s'étendit d'abord aux Blancs engagés qui fuyaient leurs mauvaises conditions de travail. Il a fini par désigner également les «esclaves fugitifs». Déjà en 1667, le père Jean-Baptiste du Tertre décrivait ainsi l’importance du marronnage dans les premiers établissements français, particulièrement à l’île de Saint-Christophe (aujourd’hui Saint-Christophe-et-Niévès ou Kitts-et-Nevis) dans les Antilles:

Les Marrons se réfugiaient généralement dans des lieux inaccessibles. À la Réunion, par exemple, ils fuyaient systématiquement dans les hauts de l'île, dont ils furent les premiers habitants.

Les Nègres Marrons qui se sont réfugiés loin dans les forêts (et montagnes) ont su sauvegarder et transmettre leurs modes de vie africains et même partiellement leurs langues d'origine.



750 habitants résident dans le Cirque de Mafate. L’homme s’y est installé sur une dizaine «d’îlets», accessibles uniquement à pied et en hélicoptère. Refuge des esclaves marrons fugitifs au 17ème siècle, puis des petits blancs déshérités, le cirque et ses habitants sont aujourd’hui un témoignage vivant des modes de vie ruraux traditionnels et d’une relation privilégiée entre l’homme et la nature.

Ou à l'Ile Maurice...


Le Morne Brabant à l'Ile Maurice

Le morne Brabant fut du temps de l'esclavage le refuge d'esclaves marrons. Lors de la loi sur l'abolition de l'esclavage, voyant un groupe d'hommes arriver leur annoncer la bonne nouvelle, les esclaves se méprirent et se jettèrent du haut de la falaise plutôt que redevenir esclaves.

 Esther Williams,

dans le "bal des Sirènes" de Georges Sidney (1954)

Qui s'en souvient ? Vous avez aimé un peu, beaucoup pas du tout ?

Pour celles qui nagent comme une enclume ! (moi )!...

Bisous de sirène